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FONTAINE-FOURCHES
& l'économie de la Seine et Marne
Annexes
:
- LE COUT DE LA VIE : les valeurs des monnaies
- SPECIALITES REGIONALES : horticoles : la rose de Provins
gastronomiques : les niflettes, les fromages de Brie, la soupe champenoise.
viticoles : le raisin Noah ou Noa
L’environnement
économique de la Seine-et-Marne - LE COUT DE LA VIE : les valeurs des monnaies
- SPECIALITES REGIONALES : horticoles : la rose de Provins
gastronomiques : les niflettes, les fromages de Brie, la soupe champenoise.
viticoles : le raisin Noah ou Noa
source : SCHÉMA DE DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL DE SEINE-ET-MARNE 2004 - 2010 / ODEC de SEINE-ET-MARNE
A- Les chiffres clés du département de la Seine-et-Marne :
* 5.915 km2 (49 % de la surface de la région Ile-de-France),
* 1.240.000 habitants,
* Densité : 209 habitants au km2,
* 4 arrondissements : Melun (chef-lieu), Fontainebleau, Meaux - Torcy et Provins,
* 43 cantons,
* 514 communes,
* 590 km de routes nationales,
* 4.020 km de routes départementales,
* 5 autoroutes (avec l’A77 à Nemours),
* 2.000 km de cours d'eau,
* 135.000 ha de forêt.
B- La démographie
Entre les deux recensements de 1990 et 1999, dans une Ile-de-France en stagnation, c’est la Seine-et-Marne qui, des huit départements franciliens, a connu la plus forte progression, avec un accroissement de 10,4 % de sa population, qui s’élève en 2004 à environ 1.240.000 habitants. C’est également l’une des plus fortes évolutions nationales. Celle-ci est due à la présence de deux villes nouvelles (Sénart et Marne-La-Vallée) et au contact avec l’agglomération parisienne qui "déborde" sur la Seine-et-Marne.
Si le sud et l’est sont encore des zones très rurales, l’ouest du département, au contact de la petite couronne, connaît une urbanisation rapide au sein des deux villes nouvelles notamment. Marne-La-Vallée et Sénart totalisent respectivement 109.355 et 86.011 habitants, ce qui au total (195.366 habitants) représente 16 % de la population du département.
Toutes les composantes du territoire départemental n'ont pas participé de la même manière à l'envolée démographique. Beaucoup plus que les zones rurales du sud et de l'est, la partie ouest du département détient le plus fort accroissement. Ainsi, les communes des villes nouvelles telles que Torcy (4.800 habitants en 1975, 21.913 aujourd'hui), Lognes (passé dans le même temps de 250 à 14.753), Emerainville (de 740 à 7.211), Lieusaint (de 320 à 8.340) illustrent l’importance de cette croissance.
Si le solde migratoire positif joue un rôle dans la croissance démographique, c’est essentiellement le desserrement de la population d’Ile-de-France, notamment des jeunes ménages, qui explique cette évolution. Les jeunes de moins de 20 ans représentent un tiers des habitants contre un quart en Ile-de-France et moins de 20 % à Paris. Au total, la Seine-et-Marne est le département le plus jeune d’Ile-de-France après le Val d’Oise et celui qui connaît la plus forte croissance démographique.
Les principales communes du département sont les suivantes :
Commune |
Population en 1990 |
Population en 1999 et recensement complémentaire |
Meaux |
48 210 |
49 265 |
Chelles |
45 365 |
45 399 |
Melun |
34 805 |
35 253 |
Pontault-Combault |
30 647 |
32 886 |
Carte de la Seine-et-Marne
C- L’emploi
Depuis
le 3ème trimestre 2001, le taux de chômage augmente en Seine-et-Marne.
Il s’établit au 31 décembre 2003 à 7,7%. Sur un an, c’est la plus forte
augmentation francilienne (+ 15 %).
La Seine-et-Marne, qui avait le taux de chômage le plus bas en Ile-de-France, connaît à présent un taux légèrement supérieur à celui de l’Essonne et des Yvelines (7,5 % chacun) ; il reste cependant nettement inférieur à celui de l’Ile-de-France et de la France, 9,7 % chacun. A noter, qu’après avoir été toujours inférieur à celui de la France, le taux de l’Ile-de-France l’a maintenant rejoint (Cf. Figure 3).
La Seine-et-Marne, qui avait le taux de chômage le plus bas en Ile-de-France, connaît à présent un taux légèrement supérieur à celui de l’Essonne et des Yvelines (7,5 % chacun) ; il reste cependant nettement inférieur à celui de l’Ile-de-France et de la France, 9,7 % chacun. A noter, qu’après avoir été toujours inférieur à celui de la France, le taux de l’Ile-de-France l’a maintenant rejoint (Cf. Figure 3).
Le taux de chômage entre 1993 et 2003
D- Les infrastructures de transport
Le
département compte :
* 590 km de routes nationales,
* 4.020 km de routes départementales,
* 210 km pour 5 autoroutes (A4, A5, A6,
A77, A104),
* 2 gares TGV,
* 4 lignes RER (A, B, D, E) de Paris
vers Roissy, Marne-La-Vallée, Melun et Tournan-en-Brie,
* 290 km de voies navigables.
La
Seine-et-Marne est sillonnée par un réseau de transport principalement
orienté en radiales vers Paris. Les grands axes ouest-est sont les
débuts des itinéraires Paris-Metz (A4), Paris-Nancy (RN4), Paris-Troyes
(RN19). L’autoroute A5, ouverte depuis fin 1993, relie le sud de la
région parisienne à Troyes en passant par Sens, sur un tracé parallèle
à la ligne du TGV sud-est. Elle est un second itinéraire autoroutier en
direction de Lyon, ayant un rôle de délestage de l’A6.
Hormis la francilienne (A104) et la RN 36 (Meaux-Melun) qui permettent de relier le nord au sud du département le long de sa frange ouest, les voies de communication internes restent insuffisantes dans ce sens.
L’interconnexion des TGV d’Ile-de-France, assurée par la construction d’une nouvelle ligne ferroviaire en Seine-et-Marne, est achevée depuis 1995. Deux nouvelles gares TGV sont implantées : l’une à Roissy, pivot de tout le réseau, l’autre à Chessy. A noter par ailleurs, l’arrêt marqué par le TGV à la gare de Melun sur certains trajets de la ligne Paris-Lyon-Marseille.
Une nouvelle gare RER a été mise en service à Serris à proximité de Disneyland Paris, dans le secteur du Val d’Europe (ville nouvelle de Marne-La-Vallée), où l’un des plus grands centre commerciaux d’Europe, appelé précisément Val d’Europe, a ouvert en octobre 2000.
Hormis la francilienne (A104) et la RN 36 (Meaux-Melun) qui permettent de relier le nord au sud du département le long de sa frange ouest, les voies de communication internes restent insuffisantes dans ce sens.
L’interconnexion des TGV d’Ile-de-France, assurée par la construction d’une nouvelle ligne ferroviaire en Seine-et-Marne, est achevée depuis 1995. Deux nouvelles gares TGV sont implantées : l’une à Roissy, pivot de tout le réseau, l’autre à Chessy. A noter par ailleurs, l’arrêt marqué par le TGV à la gare de Melun sur certains trajets de la ligne Paris-Lyon-Marseille.
Une nouvelle gare RER a été mise en service à Serris à proximité de Disneyland Paris, dans le secteur du Val d’Europe (ville nouvelle de Marne-La-Vallée), où l’un des plus grands centre commerciaux d’Europe, appelé précisément Val d’Europe, a ouvert en octobre 2000.
II- Les
activités agricoles et industrielles
A-
L’agriculture
L'agriculture
occupe environ 343.000 hectares soit 60 % du territoire et compte 3.242
exploitations d'une superficie moyenne de 110 hectares ; 1.013
exploitations ont moins de 50 hectares et 451 plus de 200 hectares.
Ses productions traditionnelles (blé, qui occupe 150.000 ha, maïs, orge, betterave, oléagineux)se maintiennent avec des taux de rendement à l'hectare exceptionnels. La moitié de la production est directement exportée sur le marché international. En outre, de nombreux maraîchers et horticulteurs réalisent une part importante du chiffre d'affaire de l'agriculture et, associés aux pépiniéristes et rosiéristes, satisfont le quart des besoins des Franciliens.
On observe cependant un double phénomène de diminution des terres cultivables (près de 2.000 ha par an dans les années 1980, en réalité moins aujourd’hui : 1.750 ha par an prévus dans le Schéma Directeur de la Région Ile-de-France), et de réduction du nombre d'agriculteurs (qui a diminué d'environ 30 % depuis 10 ans). L'urbanisation, le développement des infrastructures routières et ferroviaires, l'extension des carrières sont de grands consommateurs d'espace.
L'abandon progressif de l'élevage pèse également sur la filière laitière et ses productions tradi- tionnelles de fromage de Brie ; 150 exploitations produisent environ 300.000 hectolitres de lait.
Avec les réformes successives de la PAC (Politique Agricole Commune), les systèmes de production agricole s’orientent vers une simplification : les productions animales, les cultures dont le rendement stagne sont abandonnées au profit de celles qui procurent tous les ans des gains de rendement. Les exploitations se spécialisent de plus en plus, vers la céréaliculture et surtout le blé, vers les betteraves et le maïs ; dans le même temps, une mécanisation fortement accrue réduit les besoins en main-d'œuvre. Les exploitations s'agrandissent, parfois au prix d'un endettement important.
Le renouveau agricole semble passer par l'expérience de diversification poursuivie avec la production d'éthanol rentrant dans la fabrication de l'essence sans plomb mais aussi par l'ensemble des activités annexes que peuvent développer les agriculteurs : production et vente de produits du terroir (bière, miel...), gîtes ruraux, introduction de productions nouvelles et originales (safran, élevage d'autruches, de myocastors...).
Ses productions traditionnelles (blé, qui occupe 150.000 ha, maïs, orge, betterave, oléagineux)se maintiennent avec des taux de rendement à l'hectare exceptionnels. La moitié de la production est directement exportée sur le marché international. En outre, de nombreux maraîchers et horticulteurs réalisent une part importante du chiffre d'affaire de l'agriculture et, associés aux pépiniéristes et rosiéristes, satisfont le quart des besoins des Franciliens.
On observe cependant un double phénomène de diminution des terres cultivables (près de 2.000 ha par an dans les années 1980, en réalité moins aujourd’hui : 1.750 ha par an prévus dans le Schéma Directeur de la Région Ile-de-France), et de réduction du nombre d'agriculteurs (qui a diminué d'environ 30 % depuis 10 ans). L'urbanisation, le développement des infrastructures routières et ferroviaires, l'extension des carrières sont de grands consommateurs d'espace.
L'abandon progressif de l'élevage pèse également sur la filière laitière et ses productions tradi- tionnelles de fromage de Brie ; 150 exploitations produisent environ 300.000 hectolitres de lait.
Avec les réformes successives de la PAC (Politique Agricole Commune), les systèmes de production agricole s’orientent vers une simplification : les productions animales, les cultures dont le rendement stagne sont abandonnées au profit de celles qui procurent tous les ans des gains de rendement. Les exploitations se spécialisent de plus en plus, vers la céréaliculture et surtout le blé, vers les betteraves et le maïs ; dans le même temps, une mécanisation fortement accrue réduit les besoins en main-d'œuvre. Les exploitations s'agrandissent, parfois au prix d'un endettement important.
Le renouveau agricole semble passer par l'expérience de diversification poursuivie avec la production d'éthanol rentrant dans la fabrication de l'essence sans plomb mais aussi par l'ensemble des activités annexes que peuvent développer les agriculteurs : production et vente de produits du terroir (bière, miel...), gîtes ruraux, introduction de productions nouvelles et originales (safran, élevage d'autruches, de myocastors...).
La
forêt et les richesses du
sous-sol
Le
sous-sol de la Seine-et-Marne recèle des gisements de matériaux
importants et indispensables à l’activité économique régionale, voire
nationale.
On y trouve des gisements de pétrole qui fournissent, au cœur de la Brie, 25 % de la production nationale (0,45 million de tonnes) : le principal champ pétrolifère est celui de Chaunoy au nord-est de Melun.
Sont également exploités des matériaux d’intérêt national comme le gypse (27 % de la production nationale est issue du département de Seine-et-Marne), les sables siliceux (25 % de la production française est extraite dans le département), les argiles pour pierre réfractaire et céramique (environ 12 % de la production française provient du secteur de Provins) ainsi que des matériaux d’intérêt régional, tels les matériaux alluvionnaires et les calcaires.
On recense 87 carrières sur le territoire de la Seine-et-Marne qui ont produit en 1998 de l’ordre de 11,3 millions de tonnes de matériaux divers.
On y trouve des gisements de pétrole qui fournissent, au cœur de la Brie, 25 % de la production nationale (0,45 million de tonnes) : le principal champ pétrolifère est celui de Chaunoy au nord-est de Melun.
Sont également exploités des matériaux d’intérêt national comme le gypse (27 % de la production nationale est issue du département de Seine-et-Marne), les sables siliceux (25 % de la production française est extraite dans le département), les argiles pour pierre réfractaire et céramique (environ 12 % de la production française provient du secteur de Provins) ainsi que des matériaux d’intérêt régional, tels les matériaux alluvionnaires et les calcaires.
On recense 87 carrières sur le territoire de la Seine-et-Marne qui ont produit en 1998 de l’ordre de 11,3 millions de tonnes de matériaux divers.
B- L’industrie
agro-alimentaire
Les industries agroalimentaires de Seine-et-Marne bénéficient d'un environnement très favorable : à l'amont, une agriculture puissante, qui fournit des matières premières de qualité, et, à l'aval, la proximité des grands marchés de consommation constitués par la population de la région parisienne et des villes nouvelles.
Depuis une trentaine d'années, les industries agroalimentaires de Seine-et-Marne se sont fortement restructurées : le nombre d'entreprises est passé de 140 à 69, alors que le nombre de salariés permanents est resté stable, autour de 5.500.
Ce phénomène de restructuration est particulièrement sensible dans l’industrie sucrière. C’est ainsi qu’après les fermetures des sucreries de Bray-sur-Seine et Villenoy, seuls subsistent deux établissements : LESAFFRE à Nangis et OUVRE à Château-Landon.
Par ailleurs, la principale coopérative agricole du département " CORIOLIS ", a connu de très graves difficultés financières qui ont abouti à son rachat par plusieurs coopératives notamment de régions limitrophes.
C-
L’industrie
Le tissu industriel de la Seine-et-Marne
se distingue par sa diversité :
* une tradition industrielle qui remonte au 19ème siècle : chocolaterie Meunier à Noisiel, industrie du verre dans la vallée du Loing, métallurgie à Montereau-Fault-Yonne, de l'industrie lourde et traditionnelle (sidérurgie, verre, sable) dans le sud du département (Montereau), extraction de gypse dans les secteurs de Villeparisis et Claye-Souilly ;
* des installations antérieures au développement de villes nouvelles : raffinerie Elf et usine d’engrais à Grandpuits-Bailly-Carrois, faïencerie Villeroy et Boch à La Ferté-Gaucher, chimie à Lagny-sur-Marne ;
* des PMI du secteur de la mécanique et de l'imprimerie reparties sur l'ouest du département, avec une dominante du secteur aéronautique autour de Sénart (SNECMA à Melun-Villaroche) ;
* des secteurs fragiles tels que l’imprimerie (Didier, Quebecor à Torcy et Lizy-sur-Ourcq, Avenir Graphique à Coulommiers) ;
* des activités nouvelles liées aux techniques de l'information et de communication à
Marne-La-Vallée ;
* une forte implantation du secteur de la logistique et des transports autour des grandes voies de communication (autoroutes, zone de l'aéroport Charles De Gaulle, villes nouvelles de
Marne-La-Vallée et Sénart).
Depuis les années 2000-2001, il existe une progression importante des plans sociaux affectant le secteur de l’industrie en général et de l’industrie lourde en particulier. En effet, le département doit faire face à un changement structurel d’activité : perte des emplois industriels et création d’activités liées à la consommation (tourisme, hôtellerie-restauration, commerce, transport, logistique…).
* une tradition industrielle qui remonte au 19ème siècle : chocolaterie Meunier à Noisiel, industrie du verre dans la vallée du Loing, métallurgie à Montereau-Fault-Yonne, de l'industrie lourde et traditionnelle (sidérurgie, verre, sable) dans le sud du département (Montereau), extraction de gypse dans les secteurs de Villeparisis et Claye-Souilly ;
* des installations antérieures au développement de villes nouvelles : raffinerie Elf et usine d’engrais à Grandpuits-Bailly-Carrois, faïencerie Villeroy et Boch à La Ferté-Gaucher, chimie à Lagny-sur-Marne ;
* des PMI du secteur de la mécanique et de l'imprimerie reparties sur l'ouest du département, avec une dominante du secteur aéronautique autour de Sénart (SNECMA à Melun-Villaroche) ;
* des secteurs fragiles tels que l’imprimerie (Didier, Quebecor à Torcy et Lizy-sur-Ourcq, Avenir Graphique à Coulommiers) ;
* des activités nouvelles liées aux techniques de l'information et de communication à
Marne-La-Vallée ;
* une forte implantation du secteur de la logistique et des transports autour des grandes voies de communication (autoroutes, zone de l'aéroport Charles De Gaulle, villes nouvelles de
Marne-La-Vallée et Sénart).
Depuis les années 2000-2001, il existe une progression importante des plans sociaux affectant le secteur de l’industrie en général et de l’industrie lourde en particulier. En effet, le département doit faire face à un changement structurel d’activité : perte des emplois industriels et création d’activités liées à la consommation (tourisme, hôtellerie-restauration, commerce, transport, logistique…).
III Les
activités
touristiques
La
Seine-et-Marne bénéficie d’atouts touristiques et d’un patrimoine
exceptionnel :
* DISNEYLAND PARIS : le premier site européen du tourisme ;
* PROVINS : classée au patrimoine mondial de l’UNESCO ;
* FONTAINEBLEAU : un des rares Palais Nationaux ;
* VAUX-LE-VICOMTE : un des plus beaux châteaux privés ouverts au public ;
* MEAUX : la seconde cité épiscopale de France ;
* JOUARRE : la crypte mérovingienne la mieux préservée de France ;
* un ensemble monumental civil et religieux de premier ordre ;
* un ensemble d’églises, de monuments divers qui, grâce le plus souvent aux aides conjuguées des collectivités, ont pu bénéficier (souvent à l’aide de contrats régionaux ou ruraux) d’une restauration de premier ordre.
* DISNEYLAND PARIS : le premier site européen du tourisme ;
* PROVINS : classée au patrimoine mondial de l’UNESCO ;
* FONTAINEBLEAU : un des rares Palais Nationaux ;
* VAUX-LE-VICOMTE : un des plus beaux châteaux privés ouverts au public ;
* MEAUX : la seconde cité épiscopale de France ;
* JOUARRE : la crypte mérovingienne la mieux préservée de France ;
* un ensemble monumental civil et religieux de premier ordre ;
* un ensemble d’églises, de monuments divers qui, grâce le plus souvent aux aides conjuguées des collectivités, ont pu bénéficier (souvent à l’aide de contrats régionaux ou ruraux) d’une restauration de premier ordre.
Des sites naturels d’importance nationale :
*
la Seine-et-Marne constitue les deux tiers du patrimoine naturel
fluvial d’Ile-de-France : un formidable potentiel de développement que
le récent schéma régional du tourisme fluvial envisage d’exploiter ;
* la forêt de Fontainebleau qui avec ses 17 millions de visites annuelles, se place comme l’un des éléments essentiels de la Région ;
* un territoire rural authentique à une demi heure de la capitale, avec ses villages préservés et restaurés, sa vie agricole maintenue, et son ouverture vers un tourisme rural de qualité.
* la forêt de Fontainebleau qui avec ses 17 millions de visites annuelles, se place comme l’un des éléments essentiels de la Région ;
* un territoire rural authentique à une demi heure de la capitale, avec ses villages préservés et restaurés, sa vie agricole maintenue, et son ouverture vers un tourisme rural de qualité.
Une capacité d’hébergement importante :
* plus de 14.000 chambres d’hôtels,
* plus de la moitié du parc régional des Gîtes de France,
* plus de la moitié de la capacité en places de camping en Ile-de-France.
Un réseau de transport de premier niveau :
* les interconnexions du TGV ;
* les réseaux du RER programmés au nord et au sud du département,
* trois autoroutes (A4, A5, A6) et la Francilienne,
* un réseau de routes de grande qualité,
* la proximité immédiate de deux aéroports nationaux (Orly et Roissy).
Le tourisme est la seconde activité économique du département. Il représente 21.000 emplois et 1.300 entreprises seine-et-marnaises
* plus de la moitié du parc régional des Gîtes de France,
* plus de la moitié de la capacité en places de camping en Ile-de-France.
Un réseau de transport de premier niveau :
* les interconnexions du TGV ;
* les réseaux du RER programmés au nord et au sud du département,
* trois autoroutes (A4, A5, A6) et la Francilienne,
* un réseau de routes de grande qualité,
* la proximité immédiate de deux aéroports nationaux (Orly et Roissy).
Le tourisme est la seconde activité économique du département. Il représente 21.000 emplois et 1.300 entreprises seine-et-marnaises
Activité économique
Données complémentaires
Activité
économique - Introduction
25/11/2005 |
L'agriculture
en Seine-et-Marne
25/11/2005 |
L'industrie
et le secteur du BTP
25/11/2005 |
Les
activités de service en Seine-et-Marne
28/12/2005 |
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- LE COUT DE LA VIE : les valeurs des monnaies
- TRADITIONS LOCALES : La Fête de la Rosière
- SPECIALITES REGIONALES :- horticoles : la rose de Provins
- gastronomiques : la moutarde de Meaux/Pommery, les niflettes, les fromages de Brie, la soupe champenoise
- Sucreries : Les sucres d’orge des religieuses de Moret - Les bonbons au coquelicot
- viticoles : le vignoble francilien - le raisin Noah (ou Noa) ou "framboisie"
- LINGUISTIQUE - TOPONYMIE : - Les moulins sur l'Orvin et le ruisseau de Charriot
- Polémique : l'Yonne coule à Paris et Montereau-Fault-Yonne devrait s'appeler Montereau-Fault-Seine
- LEXICOLOGIE : - Vocabulaire
- Le Patois briard - vocabulaire
- Le Patois briard - expressions
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