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LA BASSEE / FAUNE et FLORE
La Bassée abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d'une avifaune très riche.
Par arrêté du 12 avril 2006, le site " Natura 2000 Bassée et plaines adjacentes " a été classé zone de protection spéciale (FR 1112002) ... cf NATURA 2000
On y trouve un réseau de noues et de milieux palustres d'un grand intérêt écologique.
Des espèces telle que la pie-grièche grise, menacée au plan national, y trouvent leur dernier bastion régional.
Les plans d'eau liés à l'exploitation des granulats alluvionnaires possèdent un intérêt ornithologique très important, notamment ceux qui ont bénéficié d'une remise en état à vocation écologique.
Les boisements, tels ceux de la forêt de Sourdun, permettent à des espèces telles que le pic mar et le pic noir, ainsi que l'autour des palombes de se reproduire.
Enfin, les zones agricoles adjacentes à la vallée abritent la reproduction des trois espèces de busard ouest-européennes, de l'oedicnème criard et jusqu'au début des années 1990 de l'outarde canepetière.
à consulter : Faune & Flore de la Bassée (sur le site Communauté de communes de la Bassée Montois)
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LA BASSEE / FAUNE et FLORE
La Bassée abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d'une avifaune très riche.
Par arrêté du 12 avril 2006, le site " Natura 2000 Bassée et plaines adjacentes " a été classé zone de protection spéciale (FR 1112002) ... cf NATURA 2000
On y trouve un réseau de noues et de milieux palustres d'un grand intérêt écologique.
Des espèces telle que la pie-grièche grise, menacée au plan national, y trouvent leur dernier bastion régional.
Les plans d'eau liés à l'exploitation des granulats alluvionnaires possèdent un intérêt ornithologique très important, notamment ceux qui ont bénéficié d'une remise en état à vocation écologique.
Les boisements, tels ceux de la forêt de Sourdun, permettent à des espèces telles que le pic mar et le pic noir, ainsi que l'autour des palombes de se reproduire.
Enfin, les zones agricoles adjacentes à la vallée abritent la reproduction des trois espèces de busard ouest-européennes, de l'oedicnème criard et jusqu'au début des années 1990 de l'outarde canepetière.
à consulter : Faune & Flore de la Bassée (sur le site Communauté de communes de la Bassée Montois)
La Bassee : Faune & Flore - sur le site "Fontaine-Fourches" Activer le lien propre à chaque rubrique pour ouvrir la page La Bassee 1. Arachnofaune (arachnidés) acariens : aoûtats, tiques...La Bassee 2. Entomofaune I - insectes 1. néoptères : simulies (arabis), moustiques, taons... La Bassee 3. Entomofaune II - insectes 2. hyménoptères : guêpes, abeilles, frelons, bourdons... La Bassee 4. Entomofaune III - insectes 3. lépidoptères : papillons La Bassee 5. Carcinofaune (Crustacés) page en cours d'élaboration La Bassee 6. Malacofaune (mollusques) page en cours d'élaboration La Bassee 7. Ichtyofaune (faune piscicole) page en cours d'élaboration La Bassee 8. Herpétofaune (reptiles, amphibiens & batraciens) page en cours d'élaboration La Bassee 9. Avifaune (oiseaux) La Bassee 10. Faune mammalienne (mammifères) La Bassee 11. Flore |
En savoir plus sur les bestioles qui incommodent :
- les acariens : aoûtats, tiques, qui mordent pour se nourrir.
- les insectes hématophages : simulies, taons, moustiques, qui piquent et/ou qui mordent pour se nourrir.
- les insectes à dard : guêpes, abeilles, frelons, qui piquent pour se défendre.
- les acariens : aoûtats, tiques, qui mordent pour se nourrir.
- les insectes hématophages : simulies, taons, moustiques, qui piquent et/ou qui mordent pour se nourrir.
- les insectes à dard : guêpes, abeilles, frelons, qui piquent pour se défendre.
Les
bestioles, bébêtes, bibittes* qui
incommodent...
"Le mot apparaît d’abord en flamand sous le forme de wimpel (foret, tarière) qui donne ensuite l’anglais wimble (vrille, vilebrequin) et l’ancien français guibelet qui devînt guimbelet puis guibet pour désigner les moustiques puisque la femelle pique comme si elle avait une vrille.
Au XVe siècle, guibet devient bibet en Normandie pour désigner le cousin, le pou et le moucheron ainsi que bibiss en wallon pour le pou, bibio en latin. En Nouvelle-France, le terme bibet évolue naturellement vers bibite ou bébitte pour désigner les insectes.
Cette hypothèse, peu reprise, coexiste avec une hypothèse plus populaire, selon laquelle il s'agirait d'une simple déformation de bébête.» Wiktionnaire
"Le mot apparaît d’abord en flamand sous le forme de wimpel (foret, tarière) qui donne ensuite l’anglais wimble (vrille, vilebrequin) et l’ancien français guibelet qui devînt guimbelet puis guibet pour désigner les moustiques puisque la femelle pique comme si elle avait une vrille.
Au XVe siècle, guibet devient bibet en Normandie pour désigner le cousin, le pou et le moucheron ainsi que bibiss en wallon pour le pou, bibio en latin. En Nouvelle-France, le terme bibet évolue naturellement vers bibite ou bébitte pour désigner les insectes.
Cette hypothèse, peu reprise, coexiste avec une hypothèse plus populaire, selon laquelle il s'agirait d'une simple déformation de bébête.» Wiktionnaire
La classification des espèces La classification traditionnelle repose sur une hiérarchie fixe de catégories (les rangs de taxon), définie de la façon suivante : vivant → règne → embranchement → classe → ordre → famille → genre → espèce La classification phylogénétique, est uniquement fondée sur le modèle évolutif et la notion d'ascendance commune (ou phylogénie) |
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Un lieu unique, à visiter, rassemble des insectes vivants : MICROPOLIS La Cité des insectes est née de la rencontre en 1993 de deux hommes : Jean Puech, Président du Conseil Général de l’Aveyron, alors ministre de l’agriculture et de la pêche, et Jacques Perrin, producteur du film Microcosmos, tourné dans l’Aveyron. |
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Compléments
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Actualités
Communautés de Communes de la Bassée 12, rue Joseph Bara - BP 13 - 77480 BRAY Sur SEINE tél 01 60 67 09 11e-mail: communautés-communes-bassee@orange.fr / site internet : http://cc-bassee.fr