Bienvenue à FONTAINE-FOURCHES
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La Fête de la Rosière
C'est
une jeune fille élue par les habitants de son village,
qui reconnaissent sa vertu et la célèbrent au cours d'une manifestation
(civile et/ou religieuse) rassemblant la communauté.
Le point fort de cette cérémonie est la pose d'une couronne de roses sur sa tête, d'où le nom qui lui restera de "Rosière". Cette pratique s'accompagne souvent, d'une récompense : croix en métal précieux ou somme d'argent
C'est en l'an 530, sous le règne de Clovis, qu'on attribue à Saint Médard (patron des cultivateurs), évêque de Noyon et seigneur de Salency le couronnement, en terre picarde, de la première rosière, sa sœur.
Ce qui tend, selon André Pacher [CERDO, Centre d’Etudes, de Recherche et de Documentation sur l’Oralité], à « faire remonter cette nécessité impérieuse à l'aube de la christianisation ; or, de toute évidence, cela semble peu probable : à cette époque, en effet, les prêtres se mariaient et avaient des enfants. Toutefois, depuis le IVe siècle, une discipline nouvelle voulait qu'ils cessent de cohabiter avec leur femme. Il fallut attendre huit siècles pour que la pratique s'accorde avec la règle, c'est- à-dire au milieu du XVe siècle (encore fallut-il maints rappels à l'ordre jusqu'au XVIe siècle, au concile de Trente). C'est à cette époque qu'on trouve trace des premières Rosières.
C'est sous le bien-aimé Louis le quinzième, usant et abusant de son droit de cuissage, que les dotations destinées à récom- penser les jeunes filles vertueuses se multiplient.»
Dans cet esprit, mais avec une finalité de mariage, Napoléon 1er, lors de son couronnement impérial en 1804, et pendant les quelques années suivantes, attribue dans certaines préfectures et sous-préfectures, des dotations à des jeunes filles qui se marieront avec des militaires.
En 1810, en l'honneur de son mariage avec Marie-Louise de Hasbourg, l'empereur offre dans chaque canton, une dot à la fille qui se mariera avec le militaire qui a fait le plus de campagnes.
Pendant la Restauration, la bourgeoisie triomphante a valorisé cette manifestation pour restaurer l'ordre moral et religieux.
Dans la seconde moitié du XIXème siècle et au début du XXème, de nombreux villages, grâce à des donations ou des legs testamentaires, ont perpétué la tradition du couronnement de la "rosière".
C’est en 1901 que fut élue la première rosière de FONTAINE-FOURCHES
Tel est le titre d'un article de presse paru en 1966, découpé dans la page d'un journal dont le nom n'apparaît pas, hélas, qui relate l'événement en ces termes :
« En 1901, fut désignée au deuxième tour de scrutin, par 7 voix sur 11 votants, Mlle Marthe Vajou, 27 ans, sans profession. Elle reçut la somme de 399,27 F. Nous l'avons rencontrée ces jours derniers, alerte malgré ses 92 ans. Elle cultive ses fleurs avec soin et nous a avoué être très fière de son titre de Rosière. Le souvenir de cette journée est toujours présent à sa mémoire.
En 1900 le docteur Auguste Nonat offrit aux enfants des écoles deux prix : et, depuis, chaque année, les meilleurs élèves reçoivent un livret de Caisse d'épargne.
A son tour, M. Jean-Baptiste Nonat voulut récompenser la jeune fille, la plus méritante de la commune. Il laissa donc un testament que le maire et le prêtre étaient chargés de faire respecter. Le règlement de ce legs était ainsi conçu :
" Une jeune fille de Fontaine-Fourches sera élue par le conseil municipal et le prêtre du pays comme la plus méritante. En récompense, elle recevra une certaine somme, soit de 1901 à 1922, 500 F en louis d'or. En contre-partie, la Rosière sera tenue d'entretenir la tombe de la famille Nonat pendant une année et de faire dire une messe à la mémoire des défunts Nonat ".
Chaque année, donc, le conseil municipal se réunit en séance extraordinaire et désigne la Rosière par vote secret. Le garde-champêtre va prévenir l'élue et reçoit son assentiment ; si elle refuse, on procède à un nouveau vote et ainsi de suite…
Parmi les soixante-six Rosières, plusieurs l'ont été de génération en génération ; ainsi, Mlle Henriette Ponchon le fut-elle en 1907 et reçut-elle, à cette occasion, la coquette somme de 510 F or. Sa fille, Mlle Jacques, en 1931, sa petite fille, Annette Lamotte, en 1956, Mlles Raymonde Harandsoy, en l947, Chantal Pleau, en 1964, Carmen Morand, en 1965, obtinrent le titre de Rosière comme leur mère l'avait obtenu en 1908, 1943 et 1937. Cette année [1966], Michelle Courtois, jeune fille de 19 ans, sera Rosière et la tradition sera respectée puisque sa maman Charlotte Couturier, âgée à l'époque de 18 ans, le fut en 1939.
A signaler, qu'en 1962, il y eut deux Rosières, des jumelles, Mlles Yvette et Micheline Angellier[...] et que, jusqu'ici, aucune Rosière n'a failli à la requête de la famille Nonat.»
Les 500 louis d'or, compte tenu de l'érosion monétaire, ont été remplacés par une somme d'argent actualisée au fil des ans.
La remise du prix, qui a lieu publiquement, chaque année, le jour des Rameaux, donne lieu à des festivités qui drainent une population nombreuse venue des alentours.
Le pouvoir d'achat de l'euro et du franc :
500F or/1901, sur la période 1901-2014, correspondraient, selon le convertisseur franc-euro de l'INSEE à 1.935€/2015).
500F or/1901, (5 pièces de 100F contenant chacune 29g d'or fin), correspondraient, au prix de l'or à ± 1500€.
(Pour mémoire, en 2006, 1 F/1900 équivalait environ à 2,37 € & 1 g d’or fin équivalait à 10,26 € ±.)
"Le coût de la vie" et le pouvoir d'achat
MELANGES / MISCELLANEES
- LE COUT DE LA VIE : les valeurs des monnaies
- SPECIALITES REGIONALES : horticoles : la rose de Provins
gastronomiques : les niflettes, les fromages de Brie, la soupe champenoise.
viticoles : le raisin Noah ou Noa
-LINGUISTIQUE - TOPONYMIE :-Les moulins sur l'Orvin et le ruisseau de Charriot.
-Polémique : l'Yonne coule à Paris et Montereau-Fault-Yonne devrait s'appeler Montereau-Fault-Seine.
- LEXICOLOGIE - Vocabulaire - Le Patois briard - vocabulaire
- Le Patois briard - expressions
retour " P l a n d u
S i t e " Le point fort de cette cérémonie est la pose d'une couronne de roses sur sa tête, d'où le nom qui lui restera de "Rosière". Cette pratique s'accompagne souvent, d'une récompense : croix en métal précieux ou somme d'argent
C'est en l'an 530, sous le règne de Clovis, qu'on attribue à Saint Médard (patron des cultivateurs), évêque de Noyon et seigneur de Salency le couronnement, en terre picarde, de la première rosière, sa sœur.
Ce qui tend, selon André Pacher [CERDO, Centre d’Etudes, de Recherche et de Documentation sur l’Oralité], à « faire remonter cette nécessité impérieuse à l'aube de la christianisation ; or, de toute évidence, cela semble peu probable : à cette époque, en effet, les prêtres se mariaient et avaient des enfants. Toutefois, depuis le IVe siècle, une discipline nouvelle voulait qu'ils cessent de cohabiter avec leur femme. Il fallut attendre huit siècles pour que la pratique s'accorde avec la règle, c'est- à-dire au milieu du XVe siècle (encore fallut-il maints rappels à l'ordre jusqu'au XVIe siècle, au concile de Trente). C'est à cette époque qu'on trouve trace des premières Rosières.
C'est sous le bien-aimé Louis le quinzième, usant et abusant de son droit de cuissage, que les dotations destinées à récom- penser les jeunes filles vertueuses se multiplient.»
Dans cet esprit, mais avec une finalité de mariage, Napoléon 1er, lors de son couronnement impérial en 1804, et pendant les quelques années suivantes, attribue dans certaines préfectures et sous-préfectures, des dotations à des jeunes filles qui se marieront avec des militaires.
En 1810, en l'honneur de son mariage avec Marie-Louise de Hasbourg, l'empereur offre dans chaque canton, une dot à la fille qui se mariera avec le militaire qui a fait le plus de campagnes.
Pendant la Restauration, la bourgeoisie triomphante a valorisé cette manifestation pour restaurer l'ordre moral et religieux.
Dans la seconde moitié du XIXème siècle et au début du XXème, de nombreux villages, grâce à des donations ou des legs testamentaires, ont perpétué la tradition du couronnement de la "rosière".
C’est en 1901 que fut élue la première rosière de FONTAINE-FOURCHES
Tel est le titre d'un article de presse paru en 1966, découpé dans la page d'un journal dont le nom n'apparaît pas, hélas, qui relate l'événement en ces termes :
« En 1901, fut désignée au deuxième tour de scrutin, par 7 voix sur 11 votants, Mlle Marthe Vajou, 27 ans, sans profession. Elle reçut la somme de 399,27 F. Nous l'avons rencontrée ces jours derniers, alerte malgré ses 92 ans. Elle cultive ses fleurs avec soin et nous a avoué être très fière de son titre de Rosière. Le souvenir de cette journée est toujours présent à sa mémoire.
En 1900 le docteur Auguste Nonat offrit aux enfants des écoles deux prix : et, depuis, chaque année, les meilleurs élèves reçoivent un livret de Caisse d'épargne.
A son tour, M. Jean-Baptiste Nonat voulut récompenser la jeune fille, la plus méritante de la commune. Il laissa donc un testament que le maire et le prêtre étaient chargés de faire respecter. Le règlement de ce legs était ainsi conçu :
" Une jeune fille de Fontaine-Fourches sera élue par le conseil municipal et le prêtre du pays comme la plus méritante. En récompense, elle recevra une certaine somme, soit de 1901 à 1922, 500 F en louis d'or. En contre-partie, la Rosière sera tenue d'entretenir la tombe de la famille Nonat pendant une année et de faire dire une messe à la mémoire des défunts Nonat ".
Chaque année, donc, le conseil municipal se réunit en séance extraordinaire et désigne la Rosière par vote secret. Le garde-champêtre va prévenir l'élue et reçoit son assentiment ; si elle refuse, on procède à un nouveau vote et ainsi de suite…
Parmi les soixante-six Rosières, plusieurs l'ont été de génération en génération ; ainsi, Mlle Henriette Ponchon le fut-elle en 1907 et reçut-elle, à cette occasion, la coquette somme de 510 F or. Sa fille, Mlle Jacques, en 1931, sa petite fille, Annette Lamotte, en 1956, Mlles Raymonde Harandsoy, en l947, Chantal Pleau, en 1964, Carmen Morand, en 1965, obtinrent le titre de Rosière comme leur mère l'avait obtenu en 1908, 1943 et 1937. Cette année [1966], Michelle Courtois, jeune fille de 19 ans, sera Rosière et la tradition sera respectée puisque sa maman Charlotte Couturier, âgée à l'époque de 18 ans, le fut en 1939.
A signaler, qu'en 1962, il y eut deux Rosières, des jumelles, Mlles Yvette et Micheline Angellier[...] et que, jusqu'ici, aucune Rosière n'a failli à la requête de la famille Nonat.»
Les 500 louis d'or, compte tenu de l'érosion monétaire, ont été remplacés par une somme d'argent actualisée au fil des ans.
La remise du prix, qui a lieu publiquement, chaque année, le jour des Rameaux, donne lieu à des festivités qui drainent une population nombreuse venue des alentours.
1901 | Marthe VAJOU | 399 F or | 1941 |
Raymonde RAPHENON | 450 F | 1981 | Corinne GAUTHIER | 800 F |
1902 | Léa MORIN | 513 F or | 1942 | Paulette AUGE | 450 F | 1982 | Christine VAJOU | 900 F |
1903 | Léontine RONDEAU | 510 F or | 1943 | Micheline CONDAMINET | 450 F | 1983 | Irène CURY | 1000 F |
1904 | Léa LANERET | 510 F or | 1944 | Rolande BLACQUE | 450 F | 1984 | Isabelle HERBECQ | 1000 F |
1905 | Jeanne VAJOU | 510 F or | 1945 | Gilberte MORIN | 450 F | 1985 | Claudine ALEXANDRE | 1100 F |
1906 | Laure LEGRAND | 510 F or | 1946 | Henriette PONCHON | 450 F | 1986 | Patricia VAJOU | 1200 F |
1907 | Henriette PONCHON | 510 F or | 1947 | Raymonde HARANDSOY | 450 F | 1987 | Florence PETIT | 1200 F |
1908 | Maria FAVIN | 510 F or | 1948 | Madeleine TURIOT | 450 F | 1988 | Christel BACHY | 1200 F |
1909 | Léontine PELLEGER | 510 F or | 1849 | Jacqueline DALIBON | 450 F | 1989 | Christelle BORIE | 1200 F |
1910 | Régina PREAU | 510 F or | 1950 | Solange VAJOU | 450 F | 1990 | Christèle DELAHAYE | 1400 F |
1911 | Héléne GILLOPPE | 510 F or | 1951 | Josette PELLEGER | 450 F | 1991 | Sandrine LAMOTTE | 1400 F |
1912 | Eugénie NICOLAS | 510 F or | 1952 | Janine DELAHAYE | F | 1992 | Christine POINT | 1600 F |
1913 | Emma PELLEGER | 510 F or | 1953 | Madeleine ALPHONSE | 453 F | 1993 | Natacha LEFEVRE | 1600 F |
1914 | Marthe NORBLIN | 510 F or | 1954 | Mariette GONIN | 457 F | 1994 | Céline JEANDEL | 1600 F |
1915 | Blanche VAJOU | 510 F or | 1955 | Rose LORENZETTI | 428 F | 1995 | Sandra JUNK | 1800 F |
1916 | Andrée VAJOU | 510 F or | 1956 | Annette LAMOTTE | 384 F | 1996 | Alexandrine VILLARD | 1800 F |
1917 | Charlotte LANGUILLAT | 510 F or | 1957 | Danièle FAVIN | 327 F | 1997 | Nadia MARIE | 2000 F |
1918 | Thérèse VAJOU | 510 F or | 1958 | Louisette PONNELLE | F | 1998 | Cindy DUKSTRA | 2000 F |
1919 | Alice ANGELLIER | 510 F or | 1959 | Monique VAJOU | ? | 1999 | Isaline BAZINE | 2100 F |
1920 | Alice RONDEAU | 510 F or | 1960 | Lucette MARIE | F NF | 2000 | Caroline AUGE | 2100 F |
1921 | Olga BLANCHET | 510 F or | 1961 | Jeanine JUCHAT | ? | 2001 | Clarisse MARIETTE | 2200 F |
1922 | Suzanne FAVIN | 510 F or | 1962 | Yvette ANGELLIER | ? | 2002 | Cécile MARECHAL | 335 € |
Micheline ANGELLIER | ? | 2002 | ||||||
1923 | Suzanne RONDEAU | 485 F or | 1963 | Colette BADAIRE | 150 F | 2003 | Elodie RONDEAU | 350 € |
1924 | Augusta ANGELLIER | 450 F or | 1964 | Chantal PLEAU | 200 F | 2004 | Ludivine MAZEAU | 350 € |
1925 | Flavie VIRLOIS | 450 F or | 1965 | Carmen MORAND | 400 F | 2005 | Mélanie LEMIRE | 380 € |
1926 | Solange BLONDEAU | 450 F or | 1966 | Michèle COURTOIS | 400 F | 2006 | Sophie LERNOUD | 380 € |
1927 | Odette ALBRIET | 450 F or | 1967 | Rolande PONTAILLER | 400 F | 2007 | Florie-Anne BAUGE | 400 € |
1928 | Mariette NICOLAS | 450 F or | 1968 | Marie-France VAJOU | 400 F | 2008 | Aurélie MOREAU | 400 € |
1929 | Berthe DAUSSANGE | 450 F | 1969 | Martine PLEAU | 450 F | 2009 | Anaïs PLEAU * | 420 € |
1930 | Jeanne RACHAT | 450 F | 1970 | Colette AUGE | 500 F | 2010 | ||
1931 | Marie-Rose JACQUES | 450 F | 1971 | Nelly LAFAYE | 500 F | 2011 | ||
1932 | Germaine TOURNY | 450 F | 1972 | Martine MOREAU | 500 F | 2012 | Candice BARRE * | |
1933 | Huguette LAMOTTE | 450 F | 1973 | Jocelyne MAZEAU | 500 F | 2013 | Adélaïde
BACOT-SEVESTRE * |
400 € |
1934 | Rose LISET | 450 F | 1974 | Denise PONCHON | 600 F | 2014 | ||
1935 | Mariette BEAULANT | 450 F | 1975 | Marylène MOTTOT | 600 F | 2015 | ||
1936 | Blanche NICOLAS | 450 F | 1976 | Valérie NICOLAS | 600 F | 2016 | Marion LOSSOUARN | 420€ |
1937 | Françoise LENFANT | 450 F | 1977 | Patricia PERRADON | 650 F | 2017 | Manon APARICIO | |
1938 | Juliette LANERET | 450 F | 1978 | Sylvie LAMOTTE | 650 F | |||
1939 | Charlotte COUTURIER | 450 F | 1979 | Eve GRECKI | 650 F | |||
1940 | Jeanne GONTHIER | 450 F | 1980 | Nadine PONTHIEU | 700 F |
* 14/04/2009 - article
dans L'Est-Eclair
"Anaïs PLEAU" * 10/04/20012 - article dans L'Est-Eclair "Candivce BARRE" * 04/04/2013 - article dans L'Est-Eclair "Adélaïde BACOT-SEVESTRE" |
* 06/04/2015 - article dans
L'Est-Eclair "Cintia
GONCALVES" * 06/04/2015 - article dans L'Est-Eclair "Marion LOSSOUARN" |
Le pouvoir d'achat de l'euro et du franc :
500F or/1901, sur la période 1901-2014, correspondraient, selon le convertisseur franc-euro de l'INSEE à 1.935€/2015).
500F or/1901, (5 pièces de 100F contenant chacune 29g d'or fin), correspondraient, au prix de l'or à ± 1500€.
(Pour mémoire, en 2006, 1 F/1900 équivalait environ à 2,37 € & 1 g d’or fin équivalait à 10,26 € ±.)
"Le coût de la vie" et le pouvoir d'achat
NB :
Equivalences
Franc/Euro
- Un franc 1900 vaut environ 2,37 € 2006- Un franc 1910 vaut environ 2,69 € 2006 - Un franc 1920 vaut environ 0,64 € 2006 - Un franc 1930 vaut environ 0,40 € 2006 - Un franc 1940 vaut environ 0,371 € 2008 - Un franc 1950 vaut environ 0,026 € 2008 - Un franc 1960* vaut environ 1,475 € 2008 * passage aux nouveaux francs - Un franc 1970 vaut environ 0,992 € 2008 - Un franc 1980 vaut environ 0,387 € 2008 - Un franc 1990 vaut environ 0,210 € 2008 - Un franc 1999 vaut environ 0,180 € 2008 |
2)
les valeurs des monnaies indexées sur le "coût de la vie"
3) les valeurs des monnaies indexées sur leur poids en métal 4) les
valeurs des monnaies indexées sur le prix du métal
5) les valeurs des monnaies de collection Exemples concernant le pouvoir d'achat : 1 000 francs de 1949 équivalent, en pouvoir d'achat, à 163 francs de 2001. 1 000 francs de 1949 équivalent, en pouvoir d'achat, à 27,80 euros de 2007 |
MELANGES / MISCELLANEES
- LE COUT DE LA VIE : les valeurs des monnaies
- SPECIALITES REGIONALES : horticoles : la rose de Provins
gastronomiques : les niflettes, les fromages de Brie, la soupe champenoise.
viticoles : le raisin Noah ou Noa
-LINGUISTIQUE - TOPONYMIE :-Les moulins sur l'Orvin et le ruisseau de Charriot.
-Polémique : l'Yonne coule à Paris et Montereau-Fault-Yonne devrait s'appeler Montereau-Fault-Seine.
- LEXICOLOGIE - Vocabulaire - Le Patois briard - vocabulaire
- Le Patois briard - expressions