Bienvenue à FONTAINE-FOURCHES
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L’histoire
de l’église Saint-Aignan de Villiers-sur-Seine, était exposée à ses
visiteurs, par Didier Pétillat, mercredi 4 juillet 2018.[1 jour, 1 église : l'église SAINT-AIGNAN DE VILLIERS-SUR-SEINE par Alain Metayer dans Education, Loisirs-Culture]
Motte castrale, rempart contre les invasions
Après avoir expliqué le contexte des invasions Vikings de la fin du XIe siècle, celles-ci justifiant l’architecture défensive d’une « Motte Castrale », sorte de forteresse entourée d’enceintes de protection, copiée ou du moins rappelant celle des camps romains, Didier Pétillat guida ses visiteurs, à la découverte de l’église.
Parmi les détails
Chaque détail de l’édifice a été passé en revue, de la description des pierres tombales, aux fresques dont les sujets s’effacent peu à peu, sous les affres du temps.
Thomas Becket et Henri II Plantagenêt
Une fresque à l’effigie de Thomas Becket qui fut archevêque de Cantorbéry de 1162 à 1170, permettait à Didier Pétillat de rappeler son histoire et sa fin tragique : « Refusant de mettre en cause les droits et privilèges de l’Église catholique, un conflit l’opposa au Roi Henri II Plantagenêt (1133-1189) qui le lui suggérait. Ce dernier, excédé, demanda devant ses nobliaux qui serait capable de le débarrasser de ce religieux ? Ce message fut promptement décodé et mis à exécution. » La raison d’État ne se discute malheureusement pas.
Litre funéraire et prochain rendez-vous
Les armoiries de la Litre funéraire ou litre seigneuriale (du latin lista : bordure), toujours parfaitement visibles, renferment un mystère, ou plutôt 3 erreurs. En voici une : le nombre de fleurs de Lys sur la couronne, ne correspond pas à celle d’un Marquis mais plutôt à celle d’un Duc. Les puristes vérifieront. Pour deviner les 2 autres erreurs et en profiter pour découvrir la richesse des lieux et de leur passé, Didier Pétillat fixe un prochain rendez-vous aux amateurs, mercredi 1eraoût, à 10 h 30.
source : l'article dans son intégralité
Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de Seine et Marne Par E H Félix Pascal 1836
[...] IV Canton de BRAY-SUR-SEINE
Pages 317-
Le village de Villiers s’élève sur la rive gaucbe de la Seine ; il est bordé à l’est par l’Orvin ou le Lorrin, petite rivière qui des confins du département de l’Aube vient tomber dans le fleuve au-dessous de Villiers.
L’ancien château de Villiers n’existe plus. Il était placé à l’ouest du village Il fut d’abord converti en ferme ; maintenant cette ferme elle-même est morcelée. L’église ne présente rien de particulier si ce n’est une chaire à prêcher d’une élégante sculpture, où sont représentés les quatre évangélistes.
Le hameau d’Athis est situé à l’est de Villiers ; il borde la Seine qui décrit une courbe assez prononcée dans cet endroit.
Sur l’autre rive du fleuve est la ferme des Turets, placée au nord de la commune, avec laquelle elle communique par un bac ; et dans la même plaine, sur le bord de la vieille Seine, la ferme des Bordes.
Villiers est à trois lieues est-nord-est de Bray, entre la Seine et la route de Mézières à Orléans, à trois lieues et demie au sud de Provins, et à quinze lieues à l’est de Melun. Le hameau d’Athis forme la limite du département sur ce point.
La population totale de la commune est de 500 habitans ; son territoire est en terres labourables et en prairies.
Villiers-sur-Seine
Villiers-sur-Seine est cité pour la 1ère fois au XIIIe siècle, mais son territoire est habité à partir de l'époque gallo- romaine.
balades en images photos d'hier & d'aujourd'hui Vues du cielInondations Cartes postales |
Les seigneuries d'Athis et de Villiers
Les seigneuries d'Athis et de Villiers sont distinctes à l'origine. Cependant, elles appartiennent parfois au même seigneur.
La terre de Villiers
Relevant tout d'abord de l'archevêché de Sens, elle appartint au marquisat de Trainel, dont la famille des Ursins fut longtemps propriétaire. En 1758, Claude II des Ursins et sa femme vendirent les terres et seigneuries de Villiers à l'abbé Terray.
Le domaine d'Athis
La seigneurie échut, au cours de la guerre de Cent Ans, par droit de premier occupant sans doute, à la famille de Madeil.
Edme de Madeil qui possédait ce fief au commencement du XVI siècle avait un fils, Alain de Madeil, qui s'enrôla sous les étendards du duc de Guise et prête main-forte au capitaine des Ursins chargé de battre les gens de Coligny.
Il était le beau-frère de Mondragon, seigneur, par son mariage avec Marguerite de Dye, de la moitié de Saint-Pregts*, fief de Grisy-sur-Seine. Il acquit lui-même en 1570 cette moitié qu'il laissa en 1583 à son fils, Louis de Madeil. Ce dernier acheta en 1587 le fief de la Mothe-Tilly. Il avait épousé Françoise de Montelard dont il eut quatre filles.
L'une de ses filles, Jacqueline de Madeil, veuve de Jean de Sablonnières, à qui elle n'avait pas donné d'enfants, épousa, en secondes noces, Constantin des Réaux, qui avait eu de sa première femme, Valentine d'Aucourt, un fils, Gabriel des Réaux.
Elle resta veuve une seconde fois, sans enfants et légua ses terres d'Athis et de Grisy Saint-Pregts, à Gabriel des Réaux, son beau-fils.
Ce dernier, seigneur aussi de Brison, avait hérité, suivant la coutume, la charge de son père, ancien gentilhomme de la chambre du roi. Il était en outre lieutenant aux gardes du corps. Marié à Guillemette de Marolles, il transmît à ses descendants tous ses biens ; mais, vers 1650, les héritiers cédèrent leur part de Grisy-Saint-Pregts au fils de François de Carnavalet, seigneur de Noyen, propriétaire de l'autre moitié de Grisy ; ils ne conservèrent que les fiefs d'Athis et de La Mothe-Tilly.
La seigneurie d'Athis empiétant sur Fontaine-Fourches, ils la vendirent, en 1747, à la famille Terray, ainsi que celle de la Motte- Tilly.
L'abbé Joseph Marie Terray (né à Boën-sur-Lignon le 9 décembre 1715 et mort à Paris le 18 février 1778 (ou le 22 février), fut le dernier contrôleur général des finances de Louis XV (1769-1774)
Abbé commendataire de Molesme et Troarn, il devint alors seigneur de la Mothe-Tilly et de Melz-sur-Seine ; .
Pierre Terray, vicomte des Rozières, (1713-1780), frère de l'abbé Terray, procureur général près la Cour des aides, devint lui, seigneur d'Athis. Voisin du marquisat de Trainel qui englobait Villiers, il acheta pour 150.000 livres la seigneurie de Fontaine-
Fourches, qu'il annexa à sa terre d'Athis, à Claude-Constant- Esprit Juvéna! d'Harville des Ursins, marquis de Trainel, seigneur de Doue, etc., qui garda Villiers-sur-Seine et le bois de la tuilerie de Mauny.
La seigneurie de Fontaine resta dans la famille Terray jusqu'à la Révolution.
Antoine-Jean Terray, [fils de Pierre et de Renée Félicité Le Nain (1726-1778] naquit à Paris le 27 mars 1750 ; il fut guillotiné à la Barrière du Trône le 28 avril 1794 et inhumé au cimetière de Picpus].
Seigneur de Rozières, Saint-Germain, Changy, Antoine Jean fut avocat puis conseiller au Parlement de Paris, conseiller à la Cour des Aides, maître des Requêtes (1771), intendant des Finances à Montauban (1773), intendant de Moulins en août 1781, et intendant de Lyon en septembre 1784, comparaît à Provins et à Lyon en 1789.
Antoine Jean, dernier seigneur d'Athis et de Fontaine-Fourches, habita le château de La Motte-Tilly près de Nogent-sur-Seine et fut le légataire universel de l’Abbé Terray. Il avait hérité de La Mothe-Tilly en 1779, puis d'Athis et de Fontaine-Fourches en 1780. Les seigneuries d'Athis et de Villiers étaient alors réunies définitivement.
Il revendit Tilly dont une dame de ce nom était propriétaire à Grisy en 1414. Ce fut le propriétaire du château de Toussac, à Villenauxe-la-Petite, Louis-Clément-Bonaventure Jodrillat, qui l'acheta.
Il avait épousé, le 11 février 1771, Marie Nicolle Perreney de Grosbois (sœur du marquis du même nom), fille de Jean Claude Nicolas PERRENEY de GROSBOIS (1718-1810), premier président au parlement de Besançon, et d'Anne Philippine FYOT de MIMEURE †1811) ; née le 15 novembre 1750, elle fut guillotinée à la Barrière du Trône le 28 avril 1794 et inhumée au cimetière de Picpus).
Il en eut 4 enfants dont une fille, Aglaé Terray (1788-1867), qui épousa Eugène, Duc d'Harcourt (1786-1866).
et qui hérita de la bibliothèque et des précieux manuscrits de son oncle le marquis. Elle avait 80 ans lorsqu'elle mourut en 1867.
Une autre de ses filles, Mélanie ((1778-1804), épousa Armand Jérôme BIGNON, sgr du Rozel, de la Meauffe et d'Hardricourt, Maire du Rozel (50), substitut du procureur général du Parlement de Paris de 1788 à 1790, ancien bibliothécaire du roi.
Neveu de l'abbé Terray, Jacques Paulze, fermier général, eut une fille, Marie-Anne Pierrette Paulze-Lavoisier (1757-1836) qui épousa, à l'âge de 13 ans, le fermier général et chimiste Antoine Lavoisier.
Ayant fait construire une tour attenante à sa maison, Anatole Just Gomets réside à Villiers-sur-Seine de 1860 jusqu'à sa mort en 1916.
sources :<villiers-sur-seine.pagesperso-orange> & <Topic-Topos 2006-2013>
Motte d’Athis
Datation : XIIe siècle - XVIIIe siècle
COLLECTION DES INVENTAIRES SOMMAIRES DES ARCHIVES DÉPARTEMENTALES ANTÉRIEURES A 1790 PREMIÈRE PARTIE
ARCHIVES CIVILES - INVENTAIRE SOMMAIRE DES ARCHIVES DÉPARTEMENTALES ANTÉRIEURES A 1790 RÉDIGÉ PAR M. ALPHONSE ROSEROT, archiviste- adjoint
AUBE - ARCHIVES CIVILES. — SÉRIE E - TOME PREMIER - TROYES - IMPRIMERIE ADMINISTRATIVE DE J. BRUNARD, 8J, RUE URBAIN IV 1884
[...] Adjudication de moitié de la terre et seigneurie d'Athis(-sur-Seine) faite le l'"' juillet 1631 sur Louise de Madeil, femme d'Adérald de la Rouvère, seigneur d'Esclavolles ; donation de l'autre moitié de cette lerre et seigneurie, du 14 septembre 1626, par Jacqueline de Madeil, veuve de Constantin des Réaulx, gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi, à Jacqueline des Réaulx, fille de Gabriel.
Randonnée virtuelle
Cliquer sur les mots du texte signalés en caractères gras, pour afficher l'image correspondant au lieu de la randonnée.
Petite commune de Seine et Marne d'une superficie de 1137 ha, 326 habitants (1999), Villiers sur seine, prononcé "Villière par les anciens de la commune", est située à la limite Est de la Seine et Marne, frontalière avec le département de l'Aube. Elle possède deux hameaux, Athis et Les Thurets. Son territoire est partagé de part et d'autre de la Seine, fleuve qui prends sa source à Saint-Germain-Source-Seine dans le plateau de Langres, en Côte-d'Or et étire son cours sur une distance de 776 kilomètres.
En limite avec le département de l'aube, la rivière l'Orvin, surnommé le Vieil Orvin par les Villierots, contourne le village avant de se déverser dans la Seine. Cette rivière prend sa source à saint Lupien, dans le département de l'Aube. Elle traverse ensuite plusieurs villages sur environ 35 kilomètres.
Marcilly-le-Hayer, Bercenay-le-Hayer, Bourdenay, Trancault, Soligny-les-Étangs, Bouy-sur-Orvin, Traînel, Fontaine-Fourches, Cercy(hameau de Gumery) et Villiers-sur-Seine.
La rivière ne traversant pas la commune, une dérivation, a été creusée jadis pour permettre au cours d'eau de traverser la commune de Villiers. Juste avant que cette dérivation ne se jette dans la Seine, un fossé a été créé, afin d'alimenter en eau les étangs du château de la commune de Noyen-sur-Seine.
Au milieu du village trône l'Église Saint-Aignan, sans doute construite au XIIe siècle. Celle-ci abrite en son centre une magnifique chaire ainsi que de superbes peintures murales et de remarquables vitraux. Après électrification de l'horloge, l'ancien mécanisme installé dans le clocher, datant de 1896, a été rénové et exposé dans l'église.
La randonnée en images commence a quelques pas de l'Église, au pied du panneau d'information mis en place par l’association Chantier école. Ce panneau affiche une carte donnant les informations nécessaires sur les circuits de randonnée, établis depuis juillet 2002 par cette association.
Deux circuits de randonnée sont proposés :
- Un premier tracé de 8 Km 500, qui boucle sur les territoires des communes de Villiers sur Seine et Noyen sur Seine. Ce tracé emprunte des chemins ombragés qui longent la Seine et le Canal de Beaulieu.
- Le deuxième tracé de 13 Km, boucle sur les territoires de Villiers sur Seine, Cercy et Noyen sur Seine, a travers la plaine agricole, a travers champs, herbes folles et fleurs sauvages.
Premier tracé :
Tout de suite après le départ, nous rencontrons la rivière l’Orvin que l’on traverse par le Pont de Bûche. Jadis, cet endroit de la rivière était utilisé comme passage a guet et comme abreuvoir par les vaches des éleveurs de la commune. A cet endroit, le fond de la rivière était renforcé par un pavage en pierres, aujourd’hui envasé. Après avoir franchit la rivière, un petit chemin longeant la rivière nous mène jusqu'à la Seine, à l'Embouchure de l’Orvin. Au bout du chemin, nous franchissons a nouveau l'Orvin pour emprunter la départementale 49a1. A cet endroit une Passerelle de crue, a été récemment rénovée par l’association Chantier Ecole et a droite le barrage de retenu, qui régule la hauteur de l'eau de l'orvin. Nous franchissons le Seine par le Pont de Seine et nous continuons par la départementale 49a jusqu’au Canal de Villiers a Beaulieu. Les travaux de creusement du Canal de Villiers à Beaulieu, ont débuté en 1882 et ont été terminé en 1886, un travail énorme a l'époque, mais nécessaire pour contourner la partie non navigable de la Seine. Trois écluses le long de ses 8,25 km régule le niveau de l'eau, Villiers sur Seine, Melz sur Seine et Beaulieu.
Juste avant le pont qui enjambe le canal, nous empruntons a gauche, un chemin agricole qui longe les berges du canal. Ce chemin contourne la fosse du canal, aussi appelé (Carré), qui permettait le demi-tour des péniches et nous mène au pont de l’écluse, duquel nous avons une vue plongeante de l'Ecluse, nous suivons le chemin de Halage jusqu'au Pont Noire, qui enjambe la vieille seine. C'est a cet endroit que débute le Canal de Beaulieu. Au cours du temps, la Seine a changée son cours et c'est ici que l'on retrouve son ancien lit, la Vieille Seine. Nous continuons notre balade, toujours en suivant le chemin de hallage, en suivant le cours de la Seine afin d'atteindre, Le Port Montain, hameau de la commune de Noyen sur Seine et nous traversons la Seine par le pont du Port Montain en direction de Noyen sur Seine. Dans cette commune, vous pourrez admirer un superbe Château du XVIIIe siècle. Enfin retour a Villiers par la route de Noyen après avoir parcouru environ 8 Km.
Deuxième tracé.
Toujours à partir du panneau d'information, nous partons en direction du hameau Athis. Nous traversons l'Orvin par le pont de l'Arche et suivons la route d'Athis pour atteindre le Four d'Athis, ou jadis une entreprise d'aggloméré exploitait le lit de la Seine. En longeant le Seine, nous arrivons a Athis, sur la gauche, l'Abreuvoir qui était utiliser a l'époque par les animaux des éleveurs de la commune, le désensablage récent effectué par la commune, a permit de mettre a jour un pavage grossier en pierre. Nous continuons la traversé du hameau pour atteindre la route départementale 411 de Brays sur Seine à Nogent sur Seine. Après avoir franchit la route, nous partons tous droit en empruntant un chemin agricole qui traverse la plaine jusqu'au Pont de Pierre qui enjambe le Grand Orvin. Après avoir traversé le pont de pierre, nous passons sur le territoire de la commune de Cercy, hameau de Gumery ou vous pourrez admirer un ancien lavoir. Le chemin aboutit sur la route de Villiers a Trainel, nous empruntons cette route et bifurquons a gauche au premier croisement, afin de rejoindre un chemin agricole qui nous emmène, après avoir traversé la plaine au carrefour de l'Espérance, sur le territoire de la commune de Noyen. Retour a Villiers par la route de Noyen.
Mes plus belles balades en France: 100 promenades sauvages. Yves Paccalet édit. JC Lattès, 11 2001 (Livre numérique Google)
[...]" Le coin n'est pas facile à trouver...entre Montereau et Nogent-sur-Seine, j'ai quitté la départementale 411, franchi Noyen
-sur-Seine, passé le pont sur le fleuve au Port-Montain, et rejoint le village de Meltz-sur-Seine.De là, j'airoulé vers le sud sur une route étroite. Je me suis garé près du pont de pierre jeté sur le canal dit"de dérivation de Beaulieu à Villiers-sur-Seine."
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