Bienvenue à FONTAINE-FOURCHES
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Les principaux seigneurs de la contrée, commune par commune.
CESSOY - Les moines de Tours, en grande partie, étaient les seigneurs de ce village. En 1759, les habitants et les seigneurs firent bâtir une église, un presbytère, une maison d’école, et approprièrent un cimetière.
CHALAUTRE-LA-REPOSTE - Ce village comprenait plusieurs seigneuries et fiefs : 1°-le château de la Malmaison avec la ferme du Plessis-Rimbault ;
2°-les deux fermes de la Haie-Jutard (le président Félix Faure aimait à chasser sur les terres de ces fermes)
3ø-le fief de la Boissire ;
4ø-le château-fort de la Motte ;
5ø-le château-fort de Saint-Presles.
CHATENAY - Avant le neuvième siècle, date de la fondation de ce village, la seigneurie appartenait au roi. En 1105, les climats furent divisés par le sire de Hilduin. Le ministre Turgot possédait la seigneurie en 1770 ; naguère encore, on voyait sur les murs de l’église la litre de ses funérailles sur laquelle ses armes étaient peintes.
COUTENCON - Le village et la seigneurie ont longtemps appartenu à l’ordre du Temple, aux chevaliers de saint-Jean, à l’ordre de Malte. - La maison de la Brémonderie est passée aux Trudaine et à la princesse de Châlais, après avoir été dans la famille Thosnier de Nuisement. A la fin du douzième siècle, la comtesse de Flandre, qui avait acheté la seigneurie de Coutançon, moins la dîme, des religieux de Notre-Dame de la Charité-sur-Loire, ordre de Cluny, l’avait donnée, à son décès, aux chevaliers du Temple. La donation en date de 1203 porte l’approbation de Hugues, abbé de Cluny et du roi Philippe II. La seigneurie, jusqu’à la révolution, fut possédée par les commandeurs de la Croix-en-Brie et de Malte. La cure était à la collation de l’ordre de Malte et le curé se trouvait, par privilège, exempt des synodes de l’archevêque de Sens. Plusieurs fermes-fiefs étaient établies sur la paroisse ; l’une d’elles, en 1279,appartenait à Michel de Coutançon et à Emeline, sa femme ; une autre, en 1281, appartenait à l’abbaye de Saint-Denis près Paris ; celle de la Malheure ou du Logis qui, au seizième siècle, était dans la famille de Guillaume des Boulais de Soligny. La ferme-fief des Mortiers à appartenu successivement à la famille des Barres, à Guillaume d’Ambremont, à François de Ragoujard, aux famille de Bernate Cermuise et de Chassepot. Un trésorier de France, en résidence à Montauban, Nicolas Lefebvre de la Boulaye, en fit l’acquisition en 1749.
DONNEMARIE - Les premiers seigneurs furent les moines de Saint-Benoist ; les moines de Tours leurs succédèrent.
DONTILLY - Ce village fut formé de fermiers-fiefs et de châteaux-forts tel que ceux de Bécherelles, du Plessis-Pantourel-des-
Eventés, de Dontilly. Au treizième siècle, la seigneurie était possédée par Adam de Dontilly, seigneur de Chanteclair, chevalier des Eventés. Les moines de Preuilly achètent la seigneurie du fils de ce chevalier. Parmi les autres seigneurs de Dontilly, nous citerons, Jacques de l’Hospital qui érigea les fiefs de Séguier Fortois et de Pantourel ; rené de l’Hospital, qui, convaincu d’assassinat, fut gracié par Louis XIV.La seigneurie fut vendue par les créanciers du duc d’Angoulême au sieur de Brichanteau, le 2 décembre 1690, moyennant 13.000 livres.
EGLIGNY - Fief d’honneur, était un village renfermant plusieurs seigneuries et un couvent de Cisterciens établi à Preuilly ; Henry VI roi d’Angleterre qui n’avait pas à se louer des seigneurs d’Egligny, les déposséda sous prétexte de félonie. En 1486, la seigneurie et le château appartenaient à la famille de Melun. Avant la révolution, le château était habit‚ par le général comte Turpin gendre du maréchal de Lowendal.
GURCY - C’était un fief rendable à grande force du temps de Clovis. Le nom de Gurcy-le-Châtel lui vient du château-fort qui y fut construit. Nous connaissons le nom d’un seigneur du treizième siècle, Jacques de la Motte par un document qui mentionne la route qu’il fit percer de Gurcy à Bray, passant par Preuilly. Les principaux seigneurs qui se succédèrent furent : de Bricheteau, seigneur de la Déboiserie en 1392 ; Denis de Chailly, seigneur d’une grande partie du Montois, grâce à la générosité de Charles VII ; Jean de Hennery (1458) ; Armand de Brichanteau, maréchal de France ; Louis Reigner de Guerchy, neveu du maréchal (1742).
JUTIGNY - C’était une seigneurie-fief relevant de celle de Savins. Le seigneur principal fut Jacques Stuart, de la maison d’Ecosse ;cette terre lui venait de Marguerite de Culant, dont sa femme avait été l’héritière.
LIZINES - En 1145, un comte de Lizines se nommait Nollet. Au treizième siècle la seigneurie est possédée par Pierre le Bouteiller ; en 1563, par Guillaume Stuart de la famille de Culant ; en 1599, par Jacques de l’Hospital ; en 1613, par de Brichanteau et de l’Hostel-Descot, son gendre ; en 1749, par François-Pascal Dumesnil de Maricourt.
LUISETAINES - En 1317, l’abbaye de Saint-Pierre-le-Vif de Sens acquérait la seigneurie de Luisetaines. En 1674, la seigneurie passa entre les mains de messieurs Lazariste de la mission de Notre-Dame de Versailles.
MEIGNEUX - La seigneurie appartenait à l’abbaye de Saint-Pierre-le-Vif de Sens et la forêt en partie aux moines de Saint-Martin de Tours.
MONS - Les moines de Tours créérent le fief de Colinette (1376), qui comprenait des biens sur Mons, au profit de Guillaume de Chaintre. L’hôtel de ce fief fut reconstruit après l’invasion anglaise dans l’intérieur de Mons, avec sa ferme de Basse-Cour. Il passa ensuite en de nombreuses mains. Parmi les principaux possesseurs, nous citerons : Claude de Hurpin, Jean de Millant qui l’acheta des moines de Tours. En 1756, ce fief appartenait à mademoiselle Bourdier ; il passa ensuite à Jean du Bosquet d’Argence, chevalier, et Elisabeth Féra de Saint-Phala, son épouse ; puis à M.d’Inval de Montbeaufranc ; en 1775, à M.Jean Gervais, marquis de Chazot ; et enfin en 1788 à M.Alexandre-Charles-Pierre comte de Tillet.
MONTIGNY-LENCOUP - Composé de nombreux fiefs. Le premier seigneur qui nous est connu, Girard de Montigny, céda ses biens à l’abbaye de Preuilly, avant de partir pour la croisade. La seigneurie de Montigny relevait de la seigneurie de Marolles ; en 1392, elle fut cédée par M. de Poisieux à son fils. Les principaux seigneurs furent : de Choiseul qui, en 1694, vendit son château et ses terres à Charles de Trudaine. Jacques de l’Hospital, Diane de France, duchesse d’Angoulême etc..
PAROY - La seigneurie relevait de la grosse tour de Bray. En 1454, Gillebert de Begugen ‚ fait seigneur de Paroy. Les chanoines de Saint-Quiriace avaient la suzeraineté de la cure. Les principaux seigneurs furent : la famille Worms, dont une fille épousa Michel de l’Hospital ; Mascarony ; Roslet de Chaslot ; Pecquet ; Guy-le-Gentil et M. de Saint-James.
SIGY - Dés 1218, nous voyons figurer comme seigneur de Sigy : Pierre et Jacqueline sa femme, qui cède des Dîmes au couvent de Preuilly ; en 1685, Duroux, seigneur de Sigy, signe à Provins son adhésion à la ligue.
SOGNOLLES - La seigneurie de Sognolles, avant le quatorzième siècle, était passée entre les mains des seigneurs de Bécherelles et de Lizines qui s’en étaient emparés.
THENISY - Les moines de Tours en étaient les seigneurs et le prieur de Cannes avait des droits sur certaines dîmes.
VILLENEUVE-LES-BORDES - Bâti au onzième siècle par le comte de Champagne, ce village portait le nom de Ville-Neuve-le-Comte-Champagne. Le comte donna la seigneurie aux archevêques de Sens qui en firent deux biefs : Villeneuve, qui revint au roi, et les Bordes, qu’ils cédèrent à l’abbaye de Sainte-Colombe-les-Sens. En 1454, de Roussy était seigneur ; en 1683, nous voyons figurer, comme seigneur de Valjouan, le duc de Randon ; Mathieu de Harcourt avait reçu la seigneurie de Valjouan de son frére Guillaume de Harcourt.
VIMPELLES - Possédait plusieurs seigneuries.- M. de Trudaine ‚fait seigneur en 1761.
SAVINS - La famille de Culant demeura longtemps propriétaire de la seigneurie
Une route romaine qui, de Sens, entrait dans la contrée par le pont de Jaulne les Bray, traversait les territoires de Paroy, Jutigny, Savins, Sognolles et de Lizines. Cette grande route dite Pierrée (Pétrosa) doit son nom Grand-Parré ou Perrée avait des ramifications qui desservaient les centres d’habitations d’alors.
A consulter également :
Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de Seine-et-Marne Par E H Félix Pascal (livre numérisé par Google).
lien sur le site : LES COMMUNES DE LA BASSEE (cantons de Bray-s-S & de Donnemarie)- HISTOIRE
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MELANGES / MISCELLANEES
- LE COUT DE LA VIE : les valeurs des monnaies
- TRADITIONS LOCALES : La Fête de la Rosière
- SPECIALITES REGIONALES :- horticoles : la rose de Provins
- gastronomiques : les niflettes, les fromages de Brie, la soupe champenoise.
- viticoles : le raisin Noa ou Noah (ou framboisie)
- LEXICOLOGIE : - Vocabulaire
- Le Patois briard - vocabulaire
- Le Patois briard - expressions
- LINGUISTIQUE - Polémique : l'Yonne coule à Paris et Montereau-Fault-Yonne devrait s'appeler Montereau-Fault-Seine
Les principaux seigneurs de la contrée, commune par commune.
CESSOY - Les moines de Tours, en grande partie, étaient les seigneurs de ce village. En 1759, les habitants et les seigneurs firent bâtir une église, un presbytère, une maison d’école, et approprièrent un cimetière.
CHALAUTRE-LA-REPOSTE - Ce village comprenait plusieurs seigneuries et fiefs : 1°-le château de la Malmaison avec la ferme du Plessis-Rimbault ;
2°-les deux fermes de la Haie-Jutard (le président Félix Faure aimait à chasser sur les terres de ces fermes)
3ø-le fief de la Boissire ;
4ø-le château-fort de la Motte ;
5ø-le château-fort de Saint-Presles.
CHATENAY - Avant le neuvième siècle, date de la fondation de ce village, la seigneurie appartenait au roi. En 1105, les climats furent divisés par le sire de Hilduin. Le ministre Turgot possédait la seigneurie en 1770 ; naguère encore, on voyait sur les murs de l’église la litre de ses funérailles sur laquelle ses armes étaient peintes.
COUTENCON - Le village et la seigneurie ont longtemps appartenu à l’ordre du Temple, aux chevaliers de saint-Jean, à l’ordre de Malte. - La maison de la Brémonderie est passée aux Trudaine et à la princesse de Châlais, après avoir été dans la famille Thosnier de Nuisement. A la fin du douzième siècle, la comtesse de Flandre, qui avait acheté la seigneurie de Coutançon, moins la dîme, des religieux de Notre-Dame de la Charité-sur-Loire, ordre de Cluny, l’avait donnée, à son décès, aux chevaliers du Temple. La donation en date de 1203 porte l’approbation de Hugues, abbé de Cluny et du roi Philippe II. La seigneurie, jusqu’à la révolution, fut possédée par les commandeurs de la Croix-en-Brie et de Malte. La cure était à la collation de l’ordre de Malte et le curé se trouvait, par privilège, exempt des synodes de l’archevêque de Sens. Plusieurs fermes-fiefs étaient établies sur la paroisse ; l’une d’elles, en 1279,appartenait à Michel de Coutançon et à Emeline, sa femme ; une autre, en 1281, appartenait à l’abbaye de Saint-Denis près Paris ; celle de la Malheure ou du Logis qui, au seizième siècle, était dans la famille de Guillaume des Boulais de Soligny. La ferme-fief des Mortiers à appartenu successivement à la famille des Barres, à Guillaume d’Ambremont, à François de Ragoujard, aux famille de Bernate Cermuise et de Chassepot. Un trésorier de France, en résidence à Montauban, Nicolas Lefebvre de la Boulaye, en fit l’acquisition en 1749.
DONNEMARIE - Les premiers seigneurs furent les moines de Saint-Benoist ; les moines de Tours leurs succédèrent.
DONTILLY - Ce village fut formé de fermiers-fiefs et de châteaux-forts tel que ceux de Bécherelles, du Plessis-Pantourel-des-
Eventés, de Dontilly. Au treizième siècle, la seigneurie était possédée par Adam de Dontilly, seigneur de Chanteclair, chevalier des Eventés. Les moines de Preuilly achètent la seigneurie du fils de ce chevalier. Parmi les autres seigneurs de Dontilly, nous citerons, Jacques de l’Hospital qui érigea les fiefs de Séguier Fortois et de Pantourel ; rené de l’Hospital, qui, convaincu d’assassinat, fut gracié par Louis XIV.La seigneurie fut vendue par les créanciers du duc d’Angoulême au sieur de Brichanteau, le 2 décembre 1690, moyennant 13.000 livres.
EGLIGNY - Fief d’honneur, était un village renfermant plusieurs seigneuries et un couvent de Cisterciens établi à Preuilly ; Henry VI roi d’Angleterre qui n’avait pas à se louer des seigneurs d’Egligny, les déposséda sous prétexte de félonie. En 1486, la seigneurie et le château appartenaient à la famille de Melun. Avant la révolution, le château était habit‚ par le général comte Turpin gendre du maréchal de Lowendal.
GURCY - C’était un fief rendable à grande force du temps de Clovis. Le nom de Gurcy-le-Châtel lui vient du château-fort qui y fut construit. Nous connaissons le nom d’un seigneur du treizième siècle, Jacques de la Motte par un document qui mentionne la route qu’il fit percer de Gurcy à Bray, passant par Preuilly. Les principaux seigneurs qui se succédèrent furent : de Bricheteau, seigneur de la Déboiserie en 1392 ; Denis de Chailly, seigneur d’une grande partie du Montois, grâce à la générosité de Charles VII ; Jean de Hennery (1458) ; Armand de Brichanteau, maréchal de France ; Louis Reigner de Guerchy, neveu du maréchal (1742).
JUTIGNY - C’était une seigneurie-fief relevant de celle de Savins. Le seigneur principal fut Jacques Stuart, de la maison d’Ecosse ;cette terre lui venait de Marguerite de Culant, dont sa femme avait été l’héritière.
LIZINES - En 1145, un comte de Lizines se nommait Nollet. Au treizième siècle la seigneurie est possédée par Pierre le Bouteiller ; en 1563, par Guillaume Stuart de la famille de Culant ; en 1599, par Jacques de l’Hospital ; en 1613, par de Brichanteau et de l’Hostel-Descot, son gendre ; en 1749, par François-Pascal Dumesnil de Maricourt.
LUISETAINES - En 1317, l’abbaye de Saint-Pierre-le-Vif de Sens acquérait la seigneurie de Luisetaines. En 1674, la seigneurie passa entre les mains de messieurs Lazariste de la mission de Notre-Dame de Versailles.
MEIGNEUX - La seigneurie appartenait à l’abbaye de Saint-Pierre-le-Vif de Sens et la forêt en partie aux moines de Saint-Martin de Tours.
MONS - Les moines de Tours créérent le fief de Colinette (1376), qui comprenait des biens sur Mons, au profit de Guillaume de Chaintre. L’hôtel de ce fief fut reconstruit après l’invasion anglaise dans l’intérieur de Mons, avec sa ferme de Basse-Cour. Il passa ensuite en de nombreuses mains. Parmi les principaux possesseurs, nous citerons : Claude de Hurpin, Jean de Millant qui l’acheta des moines de Tours. En 1756, ce fief appartenait à mademoiselle Bourdier ; il passa ensuite à Jean du Bosquet d’Argence, chevalier, et Elisabeth Féra de Saint-Phala, son épouse ; puis à M.d’Inval de Montbeaufranc ; en 1775, à M.Jean Gervais, marquis de Chazot ; et enfin en 1788 à M.Alexandre-Charles-Pierre comte de Tillet.
MONTIGNY-LENCOUP - Composé de nombreux fiefs. Le premier seigneur qui nous est connu, Girard de Montigny, céda ses biens à l’abbaye de Preuilly, avant de partir pour la croisade. La seigneurie de Montigny relevait de la seigneurie de Marolles ; en 1392, elle fut cédée par M. de Poisieux à son fils. Les principaux seigneurs furent : de Choiseul qui, en 1694, vendit son château et ses terres à Charles de Trudaine. Jacques de l’Hospital, Diane de France, duchesse d’Angoulême etc..
PAROY - La seigneurie relevait de la grosse tour de Bray. En 1454, Gillebert de Begugen ‚ fait seigneur de Paroy. Les chanoines de Saint-Quiriace avaient la suzeraineté de la cure. Les principaux seigneurs furent : la famille Worms, dont une fille épousa Michel de l’Hospital ; Mascarony ; Roslet de Chaslot ; Pecquet ; Guy-le-Gentil et M. de Saint-James.
SIGY - Dés 1218, nous voyons figurer comme seigneur de Sigy : Pierre et Jacqueline sa femme, qui cède des Dîmes au couvent de Preuilly ; en 1685, Duroux, seigneur de Sigy, signe à Provins son adhésion à la ligue.
SOGNOLLES - La seigneurie de Sognolles, avant le quatorzième siècle, était passée entre les mains des seigneurs de Bécherelles et de Lizines qui s’en étaient emparés.
THENISY - Les moines de Tours en étaient les seigneurs et le prieur de Cannes avait des droits sur certaines dîmes.
VILLENEUVE-LES-BORDES - Bâti au onzième siècle par le comte de Champagne, ce village portait le nom de Ville-Neuve-le-Comte-Champagne. Le comte donna la seigneurie aux archevêques de Sens qui en firent deux biefs : Villeneuve, qui revint au roi, et les Bordes, qu’ils cédèrent à l’abbaye de Sainte-Colombe-les-Sens. En 1454, de Roussy était seigneur ; en 1683, nous voyons figurer, comme seigneur de Valjouan, le duc de Randon ; Mathieu de Harcourt avait reçu la seigneurie de Valjouan de son frére Guillaume de Harcourt.
VIMPELLES - Possédait plusieurs seigneuries.- M. de Trudaine ‚fait seigneur en 1761.
SAVINS - La famille de Culant demeura longtemps propriétaire de la seigneurie
Une route romaine qui, de Sens, entrait dans la contrée par le pont de Jaulne les Bray, traversait les territoires de Paroy, Jutigny, Savins, Sognolles et de Lizines. Cette grande route dite Pierrée (Pétrosa) doit son nom Grand-Parré ou Perrée avait des ramifications qui desservaient les centres d’habitations d’alors.
A consulter également :
Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de Seine-et-Marne Par E H Félix Pascal (livre numérisé par Google).
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- viticoles : le raisin Noa ou Noah (ou framboisie)
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- Le Patois briard - vocabulaire
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